Art

Posted in Non classé on 14 mars 2022 by karimeziani

Je considère qu’être Artiste- peintre est une bénédiction car chaque artiste n’est pas né pour exprimer toute cette beauté de l’Art.

L’Art lui-même est une énigme. Comment on arrive à extirper de soi cette beauté du geste, l’extravagance et la flamboyance de la couleur, comment on arrive à donner vie à cette alchimie et provoquer cette douce et sensuelle créativité reste un mystère.

création

Posted in Non classé on 14 mars 2022 by karimeziani

Créer, Créer, Créer. Quel terme magique je le dédie à cette divinité intérieure.

Donc pour moi, l’artiste est un simple messager qui transmet ce qu’il ressent. On adhère ou on n’adhère pas.

Art

Posted in Non classé on 20 juillet 2020 by karimeziani

Je considère qu’être Artiste- peintre est une bénédiction car chaque artiste n’est pas né pour exprimer toute cette beauté de l’Art.

L’Art lui-même est une énigme. Comment on arrive à extirper de soi cette beauté du geste, l’extravagance et la flamboyance de la couleur, comment on arrive à donner vie à cette alchimie et provoquer cette douce et sensuelle créativité reste un mystère.

Bleu Mystique

Posted in Non classé on 20 novembre 2017 by karimeziani

Bleu Mystique

 

Devant un public de passionné, cette nouvelle collection, d’une quarantaine d’oeuvres non-titrées, « pour susciter la lecture intrinsèque du visiteur », dévoilées au public à la galerie « Seen Art », sise à Delly Brahim (banlieue ouest d`Alger), se présente comme un affranchissement de l’esprit et une recherche de la perfection morale, basée sur la contemplation spirituelle de la vie dans ses symboles conduisant aux origines de l’humanité.

L’exposition, également baptisée par l’artiste « Le monochrome du sacré » met en valeur le fruit de 25 ans de recherche sur un mélange judicieux de pigments naturels qui a abouti au « Bleu Karim-Meziani », éclatant de lumière, qui extrait le regard du visiteur de l’ordinaire, invitant sa réflexion à emprunter les chemins de la méditation, pour découvrir, au bout, des explications surnaturelles à l’existence.

Soumettant l’émotion aux règles du soufisme, Karim Meziani déploie, dans des couleurs vives, une suite arithmétique où le chiffre « zéro » notamment, prend une dimension paranormale, révélant ses mystères dans plusieurs interprétations qui poussent toute recherche à explorer les profondeurs de l’être et aller au delà de la réalité perceptible, sollicitant la pensée dans un mécanisme de réflexion augmenté.

Ainsi, représentant « le début », selon la vision de l’artiste, le chiffre « zéro », étant d’une part une valeur nulle, est le « point de départ » de tout calcul algébrique, alors que d’autre part, il symbolise le « néant » d’où part toute action conduisant vers « L’Etre ».

D’un autre côté, la forme circulaire de ce même chiffre renverrait curieusement, argue le plasticien, à la « notion de cycle » qui régit le monde, à l’instar de la similitude des schémas sur la loi de gravitation entre les planètes autour du soleil dans le monde de l’infiniment grand et des électrons autour du noyau dans le monde de l’infiniment petit.

Le « bleu mystique » en support à tous les sujets, les visiteurs ont pu apprécier le geste serein et minutieux de l’artiste, à travers le mélange subtil des couleurs qui « suscite l’apaisement et ravive l’espoir », de l’avis d’une adepte des arts plastiques, dans un travail où la quarantaine de toiles dédiée à ce vernissage, constitue un « clin d’oeil », voulu par l’artiste, à ses 40 années de carrière.

Travaillées en relief, les toiles, dont quelques unes ont été mises sous verre car réalisées sur du papier fin avec la technique du repassage, présentent plusieurs formes géométriques accomplies dans la spontanéité du geste, avec pour idée récurrente plaquée au centre de la plupart des tableaux, la « Feuille d’or », symbole de civilisation et d’éternité et motif ornemental dans l’art islamique.

L’exposition « Bleu mystique » a permis au visiteur de saisir chez l’artiste, le souci du sens, à travers la confrontation de l’émotion à une réflexion poussée sur l’existence qu’il a su rendre dans un travail hautement esthétique, empreint par la force d’une vision mystique et une fusion intelligente des couleurs.

Après de longues années d’études, Karim Meziani, artiste passionné et éternel nomade, curieux de savoir et de comprendre, définit son oeuvre comme « un travail sur le sacré et la spiritualité ». Riche d’un parcours artistique jalonné de succès, il a exposé dans plusieurs pays, à l’instar de l’Allemagne, l’Italie, la France, l’Angleterre, la Hollande, la Belgique et les Etats Unis d’Amérique.

La galerie « Seen  – Art « , ouverte aux artistes et au public depuis mai 2016, est un espace d`exposition qui ambitionne de donner plus de « visibilité » à l`art contemporain, le design et l`art décoratif dans le but de rendre ces disciplines plus « accessibles » à un large public, avait déclaré à son ouverture sa directrice, Randa Tchikou.

L’exposition « Bleu mystique » se poursuit à la galerie « Seen Art » jusqu’au 16 novembre prochain .

Cherkit Nour, APS Octobre 2017

Il voit grand . bleu

Posted in Non classé on 20 novembre 2017 by karimeziani

Pigment
2017

Il voit grand… bleu
Le beau livre, Le Nomade du pigment, est d’abord un travail d’orfèvre, de dextérité et de créativité. Conçu à quatre mains.

L’artiste peintre, Karim Meziani, le maître du pigment qu’on ne présente plus, et Samir Djama, photographe d’art et éditeur (Colorset). Une rencontre qui ne pouvait être que prometteuse. L’œil design de Samir Djama et le doigté de Karim Meziani. Un rendez-vous artistique et créatif qui a été enfin calé.

Car, avant, chacun vaquait à ses occupations. Karim Meziani avait en tête, depuis un bon moment, un projet de livre qui regrouperait des photos de ses œuvres phares soutenues par des fragments de textes issus de critiques picturales, des entretiens, témoignages «oculaires», impressions…

Une sorte de trace d’amabilité et marque de reconnaissance à l’endroit de ceux qui ont cru en lui, en son art, son rêve, sa «folie» créatrice… Karim Meziani avait croisé Samir Djama lors du Salon international du livre d’Alger de l’année dernière. Le projet avait séduit Samir Djama. «Je voulais rendre hommage aux critiques d’art et aux journalistes (français) d’avoir écrit sur moi durant 30 ans. Ils croyaient en moi. D’une manière esthétique et objective.

Avec un œil extérieur. L’écriture est importante dans l’œuvre d’un artiste. Vous savez, des critiques d’art m’ont acheté des tableaux. C’est de la poésie. Ils transcrivaient ce que je ressentais. Ce sont des clients émotionnels. L’œuvre leur parle. Pour moi, un critique d’art est un artiste qui a raté sa vocation… J’ai réuni leurs propos… j’ai choisi les critiques d’art de l’époque. Leurs critiques sont un travail informel et universel. La sélection a été effectuée avec l’éditeur de Colorset, Samir Djama… Je lui ai fait confiance. Il a ressorti mon rendu d’après une conception artistique…»

Un humaniste

En compulsant le beau livre Le Nomade du pigment, on est invité à un périple, tantôt pastoral, agreste et altier des cimes d’Arris, sa terre natale, tantôt insulaire, son havre niçois, tantôt outre-Atlantique, la Floride, transalpine, dans un petit coin de Florence ou encore à Alger, au pied marin. Des escales océane, méditerranéenne, bucolique, florentine, maghrébine, urbaine, algérienne, française, universelle…Bien qu’il défende ses couleurs, il n’en aime qu’une. Sa préférée, le pigment. Et par-dessus tout, le bleu, le grand bleu, le large, le vaste, la quiétude… Celui de l’évasion, du vague à l’âme, du songe mystique…

Depuis, il annonce mais ne renonce jamais à sa couleur. «Un art qui se cherche autant qu’il s’impose, brut, beau, toujours un plus proche de l’idéal qu’il s’est forgé», dit de lui L. Albano. Michel Gaudet légende : «Il sait aussi détenir de sa culture maghrébine l’image des créneaux de protection, visibles dans toute cité arabe et surtout celle des marabouts, symboles de sagesse, constructions fondatrices de cette philosophie…» «Karim Meziani est un éternel nomade, on voyage avec lui au travers de sa peinture et c’est un cheminement vers la beauté du pigment, intense et absolu», consigne B. Bondoux-Verhille. Quant à l’éditeur de Colorset, Samir Djama, il confirme: «C’est avant tout une rencontre humaine. Karim Meziani, c’est quelqu’un de spontané. Il m’a laissé toute la liberté dans la conception. Cela est très important.

Conférer à quelqu’un toute la latitude de s’exprimer.» Karim Meziani est un tantinet «philosophe, voire philanthrope, de la palette». Pour lui, l’argent n’est pas important mais éphémère. Mais l’œuvre est éternelle. Il offre ses œuvres à des associations caritatives. Et justement, il cède les droits d’auteur de cet ouvrage à une association. Karim Meziani ne se refait pas. Il est un homme bleu. Un nomade. Il ne possède rien mais a tout, l’essentiel.

Karim Meziani
Le Nomade du pigment
Beau livre
Colorset (2017)
El Watan

Posted in Non classé on 20 novembre 2017 by karimeziani

Pigment sur toile
année 2016

Pigment sur toile
année 2015

Dar abdellatif
Alger 2015

Posted in Non classé on 20 novembre 2017 by karimeziani

Pigment sur Toile
année 2016

Antibes
Galerie zanka
Antibes

Posted in Non classé on 20 novembre 2017 by karimeziani

Pigment sur toile
année 2016

Posted in Non classé on 20 novembre 2017 by karimeziani

2017

Strasbourg
2016

2016

2016

Posted in Non classé on 20 novembre 2017 by karimeziani

2017